« En regardant la bannière poétique de la page d’accueil, on a l’impression que c’est le début de la journée, on lit en fonction du temps. On a envie de continuer, on continue et c’est la fin de la journée. On commence à lire en haut, le bois est clair, la phrase est sur fond clair, c’est le jour. Il y a un effet de mouvement en lisant le texte. Quand on lit le mot « Oiseau » on arrive sur la couleur verte. On s’imagine être un oiseau qui vole, qui voyage le temps d’une journée. Le bois, le vert, le coquillage, ce coquillage reste le même tout au long de la journée. On avance en même temps que le texte et c’est apparemment la nuit. On a envie de savoir ce qu’il y a après. Si c’était une couverture de livre on aurait envie de lire le livre. L’herbe fait penser à l’eau et on arrive sous l’eau. Cela raconte une histoire. La photo est le fil conducteur du texte, là il y a un mouvement et le texte est plus accessible. On avance avec le texte.
Merci Charles de tes paroles si justes et éclairantes!! Je sens mieux et plus explicitement le lien entre la photo et le poème que j’avais choisi instinctivement.
Quelle fine analyse de l’image, je sens combien cela te touche. Tu as bien choisi ton orientation en fonction de ta sensibilité.
bribes d’oiseaux :
L’espace du ciel ne cache rien.
L’orage qui couvre le ciel n’est pas entravé.
La tempête peut détruire un pays entier,
Mais finit toujours par se dissiper.
je t’ai vu enveloppé
dans une bourrasque de rires
un tourbillon d’arpèges
un ouragan de couleurs
« En regardant la bannière poétique de la page d’accueil, on a l’impression que c’est le début de la journée, on lit en fonction du temps. On a envie de continuer, on continue et c’est la fin de la journée. On commence à lire en haut, le bois est clair, la phrase est sur fond clair, c’est le jour. Il y a un effet de mouvement en lisant le texte. Quand on lit le mot « Oiseau » on arrive sur la couleur verte. On s’imagine être un oiseau qui vole, qui voyage le temps d’une journée. Le bois, le vert, le coquillage, ce coquillage reste le même tout au long de la journée. On avance en même temps que le texte et c’est apparemment la nuit. On a envie de savoir ce qu’il y a après. Si c’était une couverture de livre on aurait envie de lire le livre. L’herbe fait penser à l’eau et on arrive sous l’eau. Cela raconte une histoire. La photo est le fil conducteur du texte, là il y a un mouvement et le texte est plus accessible. On avance avec le texte.
Merci Charles de tes paroles si justes et éclairantes!! Je sens mieux et plus explicitement le lien entre la photo et le poème que j’avais choisi instinctivement.
Quelle fine analyse de l’image, je sens combien cela te touche. Tu as bien choisi ton orientation en fonction de ta sensibilité.
bribes d’oiseaux :
L’espace du ciel ne cache rien.
L’orage qui couvre le ciel n’est pas entravé.
La tempête peut détruire un pays entier,
Mais finit toujours par se dissiper.
je t’ai vu enveloppé
dans une bourrasque de rires
un tourbillon d’arpèges
un ouragan de couleurs